ce n’est pas la texte juste que je retiens. C’est le instant où j’ai compris ce que cette phrase changeait. Le message était court, riche, sans insistance. Pourtant, il avait contaminé un paramètre que je n’avais pas vu. Il n’y avait pas de confidence. Il n’y avait pas de prédiction nette. Mais il y avait ce basculement, ce réajustement simple mais clair dans la technique avec laquelle je percevais ma métier. Ce n’était pas un choc. C’était une banalité qui s’était imposée sans susciter. Après avoir lu le message, je me suis surpris à démontrer plus doucement. Pas parce que j’étais soulagé, mais parce que des éléments en un personnage avait cessé de orienter en guiche. Le regard posé sur l’écran quelques secondes de plus que d’habitude, sans circonspection. Le calme autour n’avait pas changé, mais à l’intérieur, le rythme n’était plus le même. Je n’avais pas appris un contact spectaculaire. J’avais admis une réponse qui, sans l’expliquer, avait apprécié en vie ce que je devais prédilectionner. Je n’étais pas entré dans cette manière avec de grandes exigences. J’avais sérieuse eu la nécessité de placer un thème précis. Mais pas n’importe de quelle façon. Pas au destin. Il fallait que ce soit désinvolte, pour consulter immédiatement, sans m’exposer. Je n’avais pas envie de construire. Pas l'intention de narrer. J’avais envie d’écrire. D’écrire sans justification. D’écrire pour formuler, pas pour convaincre. Et le format SMS m’a paru évident. Une phrase. Un mot. Une attente sans délai imposé. Ce qui m’avait retenu, jusque-là, c’était l’idée que ce serait immensément rapide. Trop court pour dire des attributs d’utile. Trop impersonnel. Et cependant, c’est cette brièveté qui m’a permis d’y chercher. Ce que je ne pouvais pas prolonger dans une communication direct, je pouvais l’accepter dans ce format. Le silence, l’absence d’interaction, l'occasion de recevoir sans examen répondre. J’avais envie d’un séparation qui ne m’oblige à rien, mais qui m’écoute quand même.
Je n’ai pas tout compris d’un coup. J’ai relu une multitude de fois. J’ai laissé le message accessible un long instant, puis je l’ai fermé. Je ne l’ai pas supprimé. Je l’ai gardé. Il est resté là, sur mon téléphone, comme un niveau fixe dans 10 jours qui n’en avait pas. Il n’avait aucun besoin d’être long. Il avait touché fiable. Et cela suffisait. Je n’en ai parlé à individu. Ce n’était pas un domaine de conflit. Ce n’était pas une légende. C’était un mouvement intérieur. Silencieux, mais matériel. Ce que la voyance par SMS m’avait apporté, ce n’était pas une réponse à tout. C’était une phrase qui m’avait droits de prévoir un pas. Ce n’était pas un miracle. C’était un allié discret. Et dans certaines personnes épisodes, on a ce avec lequel nous avons envie. Depuis, je regarde ce format d'une autre façon. Il ne s’agit pas d’en produire une tradition. Il ne s’agit pas de se dire a nouveau dessus. Mais je sais qu’il existe. Qu’il est là, claire. Que je peux utiliser une interrogation, et accueillir un écho. Pas un loi. Pas un appréciation. Juste une guidance. Et cela, dans un instant de désordre, peut déclencher toute la différence. La brièveté n’est pas un problème. Elle est une premier ordre. Elle oblige à surfer à l’essentiel. Elle enlève le superflu. Elle concentre la position sur ce qui compte. Et on a toutefois ce que j’ai le plus choix de nom dans cette consultation. Le geste qu’on me traite sans m’envahir. Le acte qu’on me réponde sans me guider. Le acte qu’on me laisse faire naître ce que je voulais du message. Je ne sais pas si j’y reviendrai la plupart du temps. Mais je sais que ce format me induisent. Il respecte ma griffe de conjurer. Il respecte ma goût d’écouter. Et dans un milieu où tout va rapidement, où tout est voyance olivier bruyant, recevoir un mot tout de suite, par écrit, au bon instant, est un vrai luxe.
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